Participation des parents et des familles

Les parents des communautés des Premières Nations peuvent s'impliquer en travaillant dans tous les domaines du programme d'éducation, par exemple : en tant que directeur.trice.s de l'éducation, directeur.trice.s d'école, enseignant.e.s, assistant.e.s de classe, conseiller.ère.s, secrétaires, ingénieur.e.s d'entretien et professeur.e.s de langue. Les doyen.ne.s des communautés peuvent participer à l'enseignement des langues des Premières Nations, des valeurs et des compétences traditionnelles et des études culturelles. De façon informelle, les parents devraient être encouragés à participer aux activités scolaires, comme les journées de perfectionnement professionnel, les ateliers parents-enseignant.e.s, les activités sociales, les activités sportives, les sorties, les danses et autres activités étudiantes. (Assembly of First Nations, Tradition and Education) (Engaging First Nations Parents in Education: An Examination of Best Practices, Lise Chabot, Chiefs of Ontario, n.d. PDF)

La participation des parents à l'éducation n'est pas un concept propre aux Premières Nations d'Amérique du Nord, ni un combat que seules les Premières Nations mènent. Ce qui distingue la situation des Premières nations des autres est la culture, les langues et la vision du monde qu'elles apportent à l'équation - qui n'existent nulle part ailleurs dans le monde - et le nombre d'intervenants - ministères, départements, commissions scolaires - qu'il faut cajoler pour atteindre les objectifs des Premières Nations. Ces groupes ont posé et continueront de poser le plus grand défi à l'atteinte d'un degré significatif de participation des parents et de la communauté à l'éducation des Premières Nations.

En termes de développement, les grandes transitions des jeunes (par exemple, quitter le foyer parental, trouver un emploi ou faire des études postsecondaires, se marier ou devenir parent) ont été représentées comme des périodes de vulnérabilité et/ou d'opportunité où une grande partie de la vie d'un individu est en mutation. Les familles, les groupes et les communautés apportent aux jeunes un soutien pendant ces transitions sous la forme d'une attention supplémentaire, de rituels, d'activités ou d'expériences structurées pour favoriser des transitions réussies. Bien qu'il existe plusieurs cas réussis de transformation sociale et économique positive dans les communautés autochtones, des exemples encourageants de guérison communautaire et des expériences exemplaires d'autonomisation individuelle et collective (Ponting and Voyageur 2005; Wuttunee 2004), les tendances statistiques montrent que les jeunes autochtones sont de plus en plus susceptibles de vivre dans des familles monoparentales, tout comme ils sont plus susceptibles de faire partie d'une famille recomposée ou de vivre avec un grand-parent (sans la présence d'un parent). Les Autochtones du Canada sont également connus pour avoir particulièrement.

Les Premières Nations reconnaissent le rôle vital de la participation des parents à l'éducation. Les parents doivent participer à l'établissement de l'orientation et des objectifs du programme d'éducation. La participation active des parents aux programmes scolaires permet une meilleure compréhension et une meilleure coopération entre le personnel éducatif et les parents, en fait, la communauté dans son ensemble.

Les parents des communautés des Premières Nations peuvent s'impliquer en travaillant dans tous les domaines du programme d'éducation, par exemple : en tant que directeur.trice.s de l'éducation, directeur.trice.s d'école, enseignant.e.s, assistant.e.s de classe, conseiller.ère.s, secrétaires, ingénieur.e.s d'entretien et professeur.e.s de langue. Les doyen.ne.s des communautés peuvent participer à l'enseignement des langues des Premières Nations, des valeurs et des compétences traditionnelles et des études culturelles. De façon informelle, les parents devraient être encouragés à participer aux activités scolaires, comme les journées de perfectionnement professionnel, les ateliers parents-enseignant.e.s, les activités sociales, les activités sportives, les sorties, les danses et autres activités étudiantes. (Assembly of First Nations, Tradition and Education) (Engaging First Nations Parents in Education: An Examination of Best Practices, Lise Chabot, Chiefs of Ontario, n.d. PDF)

La participation des parents à l'éducation n'est pas un concept propre aux Premières Nations d'Amérique du Nord, ni un combat que seules les Premières Nations mènent. Ce qui distingue la situation des Premières nations des autres est la culture, les langues et la vision du monde qu'elles apportent à l'équation - qui n'existent nulle part ailleurs dans le monde - et le nombre d'intervenants - ministères, départements, commissions scolaires - qu'il faut cajoler pour atteindre les objectifs des Premières Nations. Ces groupes ont posé et continueront de poser le plus grand défi à l'atteinte d'un degré significatif de participation des parents et de la communauté à l'éducation des Premières Nations.

En termes de développement, les grandes transitions des jeunes (par exemple, quitter le foyer parental, trouver un emploi ou faire des études postsecondaires, se marier ou devenir parent) ont été représentées comme des périodes de vulnérabilité et/ou d'opportunité où une grande partie de la vie d'un individu est en mutation. Les familles, les groupes et les communautés apportent aux jeunes un soutien pendant ces transitions sous la forme d'une attention supplémentaire, de rituels, d'activités ou d'expériences structurées pour favoriser des transitions réussies. Bien qu'il existe plusieurs cas réussis de transformation sociale et économique positive dans les communautés autochtones, des exemples encourageants de guérison communautaire et des expériences exemplaires d'autonomisation individuelle et collective (Ponting and Voyageur 2005; Wuttunee 2004), les tendances statistiques montrent que les jeunes autochtones sont de plus en plus susceptibles de vivre dans des familles monoparentales, tout comme ils sont plus susceptibles de faire partie d'une famille recomposée ou de vivre avec un grand-parent (sans la présence d'un parent). Les Autochtones du Canada sont également connus pour avoir particulièrement.

Les Premières Nations reconnaissent le rôle vital de la participation des parents à l'éducation. Les parents doivent participer à l'établissement de l'orientation et des objectifs du programme d'éducation. La participation active des parents aux programmes scolaires permet une meilleure compréhension et une meilleure coopération entre le personnel éducatif et les parents, en fait, la communauté dans son ensemble.

Les parents des communautés des Premières Nations peuvent s'impliquer en travaillant dans tous les domaines du programme d'éducation, par exemple : en tant que directeur.trice.s de l'éducation, directeur.trice.s d'école, enseignant.e.s, assistant.e.s de classe, conseiller.ère.s, secrétaires, ingénieur.e.s d'entretien et professeur.e.s de langue. Les doyen.ne.s des communautés peuvent participer à l'enseignement des langues des Premières Nations, des valeurs et des compétences traditionnelles et des études culturelles. De façon informelle, les parents devraient être encouragés à participer aux activités scolaires, comme les journées de perfectionnement professionnel, les ateliers parents-enseignant.e.s, les activités sociales, les activités sportives, les sorties, les danses et autres activités étudiantes. (Assembly of First Nations, Tradition and Education) (Engaging First Nations Parents in Education: An Examination of Best Practices, Lise Chabot, Chiefs of Ontario, n.d. PDF)

La participation des parents à l'éducation n'est pas un concept propre aux Premières Nations d'Amérique du Nord, ni un combat que seules les Premières Nations mènent. Ce qui distingue la situation des Premières nations des autres est la culture, les langues et la vision du monde qu'elles apportent à l'équation - qui n'existent nulle part ailleurs dans le monde - et le nombre d'intervenants - ministères, départements, commissions scolaires - qu'il faut cajoler pour atteindre les objectifs des Premières Nations. Ces groupes ont posé et continueront de poser le plus grand défi à l'atteinte d'un degré significatif de participation des parents et de la communauté à l'éducation des Premières Nations.

Participation des parents et des familles

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